Moderniser les relations sociales, promouvoir la solidarité entre les générations et faire vivre les libertés publiques


 

Si le dialogue social est l’affaire des relations entre corps sociaux et socio professionnels, il importe malgré tout que l’Etat qui en est aussi l’arbitre, ne laisse s’instaurer une jungle préjudiciable à tout ce qui touche aux relations sociales.

 

Assurer aux familles les moyens de garantir une parfaite harmonie et faire cesser des causes souvent externes à la population résidente, cela est du devoir de tous ceux qui à un titre légitime s’occupent de la protection des liens sociaux.

 

C’est dans un retour aux fondamentaux de la vie familiale, en écartant ces désirs de modernismes liés davantage à la recherche d’extraction du jeune de son milieu familial, que nous devrons préserver ces liens sociaux et les faire émerger, certes dans des contestes de notre époque et du moment, plutôt que de privilégier des informations médiatiques plus tournées vers le sensationnel que vers la formation citoyenne.

 

C’est du  reste pourquoi nous préconisons que les séniors soient mieux considérés et que faire appel à eux pour assurer des missions de responsables associatifs, ou d’encadrement de structures au bénéfice des jeunes générations, doit être une volonté à faire admettre.

Le bénévolat n’est pas à exclure lorsqu’il s’agit de ne pas laisser sur le bas côté des hommes et des femmes d’expérience, que la législation écarte de la vie active professionnelle, mais n’exclut pas de la société dans laquelle ils évoluent.

 

Cela aussi contribue à donner l’exemple et renforce les liens sociaux.